Haiburiddo Kōri
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Un monde prisonnier de la neige éternelle. Notre monde, à présent remplis d'hybrides au service des humains, ou rebelle à préparer leur révolution dans l'ombre.
 
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 Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître[Alduin Moguoï]

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Hanna&Iris

Hanna&Iris


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MessageSujet: Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître[Alduin Moguoï]   Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître[Alduin Moguoï] Icon_minitimeJeu 31 Juil - 17:57

Cette nuit fût la plus belle pour nous. Nous avons pu goûtée à la liberté. Nous avons fuguée notre habita naturelle. Nous ne voulons pas rester près de ces gens qui nous utilisent . J'avais un donc et ma pauvre sœur était plus qu'inutile. Certes il aurait pu la vendre à une maison close afin d'assouvir les pulsions perverses des humains. Nous dormions paisiblement contre un arbre même cela n'était pas agréable. Il fessait froid et nous n'avions rien pour nous couvrir .  Nous ne mangeons pas non plus car il n'y avait rien. Du moins nous n'avions rien trouvée à nous mettre sous la dent. Il fessait noir et  nous pouvions voir les étoiles scintiller dans la nuit. Tout était différent de la ville, tout semblaient calme. De temps en temps il y avait le cris d'un animal. Nous réussissons à dormir, nous passions une nuit plutôt agitée. Ils nous falunent du  temps à trouvée la bonne position pour être confortablement installées.  Finalement la nuit se passa s'en encombre, le soleil montre le bout de son nez. Ce que nous ne savions pas, c'est que des gens nous attendaient.

Nous nous réveillions et vie des hommes autours de nous. Il y avait des filets et autre accessoire pour nous capturée. On dirait bien que la liberté étaient finit pour nous. Les hommes avait un sourire sadique sur le visage, ils nous jetèrent les filets. Nous étions prise au piège. Mais nous n'allions pas nous laissée faire. Iris sorti les crocs et les dents et mordis le premier qui la toucha. Je fis de même, je donnée des coups de pied en même temps afin d'enlever le filet sur nous. Les hommes s’approchèrent avec des choses qui donnent des coups d’électricité. Il vient de me donnée un coup de jus dans les cotes. Cela ne fessait pas du bien, je lui arracha un doigt au passage. Il devrai vite aller à l'hôpital. Ils pensaient qu'ils pouvaient nous capturé aussi facilement. Iris défigura un autre homme. Les pauvres leurs femmes ne les reconnaîtrons plus. En même temps ils n'avaient cas nous laisser tranquille.  Au bout  d'une heure ils nous avaient toujours pas embarquée dans leur camionnette. Certains perdaient patience, ils voulaient en finir au plus vite avec nous. Ils leur restent qu'une solution les fléchettes anesthésiante.  Ils firent pas nous endormir en nous anesthésiant. Sans ça ils n'auraient pas réussi.

Ils finirent par nous transporter dans le véhicule. Pendant tout le trajet nous étions tranquille. En même temps nous dormions. Quand nous nous réveillions nous étions dans une cage. Ils y avait beaucoup de monde autour de nous. Ils portaient un logo, celui de la boutique. Il était encore très tôt, ils fessaient le tour des cages.  Nous n'étions pas très bien réveillées .Nous regardions ceux qui ce passait. Il y avait tout un tas d'hybrides différent. En tout cas le vendeur était heureux. On dirait qu'il avait mis la main sur une chose rare. En effet un hybride esprit cela était rare. Nous étions entrains de juger le personnelle. Car nous voulions nous échappée d'ici. Nous n'aimions pas les cages. Nous aimions plutôt nous amusée avec d'autres personnes. Nous voulions partir et n'importe quel moyens était bon. Iris se rendormis pour ne pas être importunée pas les vendeurs.

-Alors tu es réveille Yokai .

-Bah avec le boucans que vous faite pas le choix.

-Bientôt tu sera vendue

-Ou nous serions partis de nous même.

Le vendeur reprit son chemin vers les autres hybrides. Il n'a sûrement pas apprécier le fait que je réponde .J'allais pas me laisser faire non plus. Iris était entrain de récupéré de sa mauvaise nuit. Je regardait les autres créatures trop docile à mon goût. Je voulais sortir d'ici et j'y arriverais. Même si je dois sortir les pieds devant.  Un autre vendeur vient nous apporté à mangé. Il nous a porta de la viande. Beurk de la viande, Iris finit pas se réveiller et sauta sur la viande cru. Ma sœur est carnivore. Je reste la, écœuré de la voire mangé comme ça. Tout le monde mangeaient cette chose affreuse et je ne vous dit pas l'odeur.  J'allais vomir mes tripes à coup sûr.
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Alduin Moguaï

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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître[Alduin Moguoï]   Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître[Alduin Moguoï] Icon_minitimeJeu 31 Juil - 19:36



Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître !▬ Avec Hanna & Iris les deux séduisantes hybrides



Le ministre se leva alors que les étoiles étaient encore présentes dans le ciel noir, il aimait regarder justement ses lumières qui semblent si proche mais qui sont belle et bien si loin dans la galaxie et cette foutue neige… C’est alors qu’il eut une idée alors qu’il était en train de fumer sur son balcon en boxer seulement avec ses cheveux noirs comme les ténèbres qui volaient au vent… Une idée qui le fit sourire alors qu’il recracher sa fumer. Alduin était à la recherche d’inspiration pour son nouveau livre, car oui être ministre c’est bien mais être écrivain en plus… Mais rien ne venait. Pourquoi ne pas changer cela ? Pourquoi ne pas changer et prendre une esclave sous son aile ? Il frissonna d’envie et d’impatience, pour lui c’était décider, il allait chercher dès l’aube quelqu’un pour lui donner des idées.

Ce dernier passa alors la nuit dans sa salle à manger avec son ordinateur portable à chercher quand même, mais rien, le syndrome de la feuille blanche était toujours présent. Ses envies violentes aussi se faisaient de plus en plus ressentir. Au lieu de rester assit sans bouger à attendre que le temps passe, l’homme aux longs cheveux d’ébène décide d’aller dans son sous-sol, dans sa salle de sport il s’habilla pas, préférant rester torse nu et uniquement en boxer… L’humain décida de tirer un sac de frappe et l’installa donc de façon à le maltraiter en plein milieu de la salle. Ses coups de poings et ses coups de pieds résonne dans toute sa salle de sport, la sueur coule sur son corps pour finir par tomber sur le sol… Son petit combat comme ce pauvre sac de sable dura bien réellement toute la nuit et même un peu après le lever du soleil. Ce qui l’arrêta ne fut pas la fatigue mais le sac qui finit par se déchirer après qu’il ait reçut un coup de genoux de trop… Alduin respirait difficilement alors que tout le sable  tombe au sol… Après avoir repris son souffle, le jeune homme monta dans salle de bain pour aller prendre une douche et être présentable. Il avait une image à tenir quand même… Imaginez le premier ministre dans les rues puant la sueur…

L’eau coulait sur son corps de façon très revigorante, cette activité avait un peu calmé les pulsions du jeune homme, mais son corps en demandait encore, encore plus toujours plus… Après être totalement propre et d’une autre odeur que la sueur, Alduin Moguaï sortit de la salle de bain après s’être séché mais totalement nu, il passa un coup de fil à une femme de ménage pour qu’elle passe pendant qu’il sera absent. Ce dernier jeta son téléphone sur son lit pendant qu’il s’habille, boxer, son costume rouge sang avec sa fameuse longue veste tout aussi sanglante. L’humain avait trop chaud mais une fois dehors… ça ira mieux, il prit bien évidemment une arme à feu au cas-où.

Une fois prêt, Alduin prit sa voiture et se dirigea vers les boutiques, il eut du mal à se garer par contre, ce qui le frustra grandement… Mais finalement la seule place de libre était devant une boutique d’hybride… Après s’être finalement garé, l’humain ne chercha pas ailleurs et entra après avoir regardé la vitrine un moment tout en fumant. Un silence de mort se fit alors que les hybrides semblaient agités, leurs regards se posèrent sur l’homme aux longs cheveux noirs. Ils semblaient tous terrifier par son aura sadique et assassine. Le jeune ministre lui les regarde un par un sans changer son regard froid et dominant. Neko, Inu, Okami… il y en avait pour tous les gouts. Mais son regard se posa sur une autre, enfin deux autre qui attiraient son regard il tenta de croiser les leurs avant d’aller les voir… Il était écrit hybrides Yokai & Fennec, alors qu’il se dirigeait vers ces dernières, les autres hybrides reculèrent au maximum au fond de leurs cages, même le vendeur resta en silence à regarder cette homme charismatique, une fois devant elle, l’humain remarqua qu’elles étaient vraiment magnifique, même son cœur de glace fut touché. C’est alors que son regard froid se posa sur elles, sans sourire il posa son index sur le plexi glace et dit de sa voix grave et froide.



 

▬  Et moi qui pensais que tous les Yokai existaient que dans les livres… Et une fennec ? C’est pas trop rare mais pas mal.

C’est alors qu’il eut la révélation, son histoire ! Il avait un contexte, celui de la dernière des Yokais, la dernière de son espèce qui parcourt le monde avec une autre race…  Après avoir quitté son regard ce dernier se dirigea vers le vendeur qui frissonna quand il le vit arrivé. Toujours avec sa voix froide et  caverneuse il lui demande le prix de l’hybride justement… Le vendeur lui donna son prix qui était exorbitant… Ce qui déplait fortement à notre ministre… Il remarqua que le vendeur était en train de lire justement l’un de ses livres…  Ce n’était pas son habitude mais le prix était vraiment trop chère… Sans rien dire il prit le livre et lui fit un autographe. Le vendeur l’avait bien reconnu le ministre et écrivain, c’est dans un soupire qu’il le remercia. Alduin regarda où était arrivé le vendeur et pendant qu’il lisait un peu ce dernier dit sans le regarder.

 

▬ Les hybrides sont enfaîtes aux prix de chienne et non de Yokai pas vrai ?   
Et voilà comment réussir avec son air froid à se préparer à payer les hybride, mais avant de partir avec elles, il demanda à ce qu’aucun mal ne leurs soit fait, si elles devenaient sont hybrides, cet honneur lui était réservé… Le vendeur alla donc la sortir de la cage et la traine donc vers la salle derrière pour faire connaissance avant de partir… Alduin laissa les hybride se laver, se préparer, physiquement et mentalement avant d’entrer à son tour dans la pièce et de se poser dans un fauteuil un verre de vin rouge à la main , et vient à lui poser quelque question.


 

▬ Bonjour, je suis Alduin Moguaï, ministre et écrivain… Bref, je suis certain que vous ne savais même pas lire… Sinon parlons de vous, comment vous nommez vous ? Savez-vous pourquoi je suis là ? Et comprenez-vous ce que j’attends de vous… Je ne cherche pas une chienne qui ne pense pas alors montrez-vous intelligentes et séduisante… sans oubliez si vous êtes comme les autres dites le moi de suite !
Le ministre ne veut pas avoir de filles prudes… Si elles ne savent pas séduire et faire envies… Pourquoi prendre elles et pas d’autre ? Après avoir bu son   verre de vin ce dernier détailla les hybrides une par une.



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Hanna&Iris

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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître[Alduin Moguoï]   Nous ne sommes pas de simple chien-chien à son maître[Alduin Moguoï] Icon_minitimeVen 1 Aoû - 13:34

Nous étions donc dans cette cage, hélas pour nous l'ouverture arrivait à grand pas. Il y avait déjà du monde au porte, on dirait les soldes dans un magasin de vêtements. Nous pouvions lire ceux qui était écrit sur notre cage. Il était marquée Hybride Yokai et Fennec pourquoi pas. J'allais en effet partis d'ici mais pas avec un de ses blaireaux qui sont agglutiner à la porte comme des chiens galeux. Cela était hors de question et je suis sur que ma sœur pense comme moi. Iris étant toujours entrain de mangée sa viande cru, ne disait pas grand chose sur la situation. Les portes s'ouvrent et le monde arriva comme une vague heurtant  les rochers . La plupart bien près de nous, mais une fois que le vendeur dit le prix il s'en alla. Sauf un qui était plutôt intéresser pas ma sœur Iris . Il vient près du vendeur et dit que c'était elle qui voulait. Iris arrêta de manger et regarda l'homme, elle lui sourit avec les lèvres pleine de sang avant de dire.

Hum il est appétissant, tu croix que je pourrais le mangé grande sœur.

Je sourit donc en effet elle n'était pas facile à cerner. Surtout qu'elle n'avait pas envie d'être séparée de moi. L'homme pâli et fit demi-tour. Il trouva une hybride bien plus douce. En effet cette chienne lui convenait mieux. Trop docile, trop faible, elle n'a rient à faire dans cette vie. Pauvres créatures qui sont enchaîner à leur vie misérable de soumis. Je ne veux absolument pas être comme eux. Elle retourna à son bout de viande. A part la nourriture et moi rien d'autre ne comptait. On dirait qu'elle
aime me pourrir la vie. En tout cas très peux de personnes après cela sont venu nous voir. La belle affaire, nous serions tranquille. J'aime pas être ennuyée. Je finis pas m'endormir malgré le raffut des hybrides et des hommes ici présent. Bizarre il n'y avait aucune femme. Elle était en vois d'extinction. Elles ne trouvaient peut-être pas d'hybride à leur goût. Peut-être qu'elles se fessaient plus discrète, elle devais les commander directement.  La matinée avançait calmement pour nous.  Iris une fois qu'elle eu finit son bout de viande elle essuya d'un revers de bras sa bouche pleine de sang.

Elle finit pas se rendormir aussi après tout nous  ne pouvions faire que ça. Mais le calme qui renier près de notre cage aller bientôt être interrompu. Un homme habille de rouge entra dans la boutique. Tout le monde arrêta de parler voir même de respiré. Il avait un froid soudain qui s'installa dans la pièce. Hum pourquoi, qu'est-ce qu'il a de plus que les autres. J'ouvris un œil, en effet il avait l'aire terrifiant.    Iris me fit signe que tout les autres hybrides avait baisser la tête et les oreilles. Hum il ne voulait pas être acheté par lui. Pourquoi il a l'aire d'être riche et puissant.  Après les gens sont parfois bizarre. En plus même les vendeurs se rabaissaient. En effet il est puissant, mais pourquoi un homme puissant vient ici. Nous remarquions qu'il regarda notre fiche. Bon on l'intéresse, après voila il ne fessait que jeté un œil. Il s'approcha des vendeurs, il sont vraiment mal à l'aise. Il prit un livre en mains et il écrit dedans. Bon après tout il fait ce qu'il veut.

L'homme partis dans une pièce et l'un des vendeurs lui apporta à boire. Un autre vendeur vient près de notre cage, il l'ouvrit.


Venez vous allez prendre une douche avant d'aller voir le monsieur.

Nous le suivions guettant le moment pour courir vers la porte. Le petit soucis le monde qui y a entre nous et l'entrée. Bon laissons tombé pour l'instant, nous suivons le vendeur jusqu’à la salle de bain. Tout était fermer, il n'y avait qu'une toute petite fenêtre. Ils avaient tout prévue. Aucun hybride ne pouvait s'échapper par la salle de bain. Nous enlevions les sales vêtements que nous avions sur nous. Iris entra en première dans la douche, il n'y en avait qu'une. Elle était en plus trop petite pour qu'on puisse y entrée à deux. Elle prit tout son temps comme d'habitude. En même temps enlever tout la crasse dans nos cheveux n'allait pas être facile. Une fois qu'elle eu finit sa douche elle s'essuya et s'habilla. Ils nous avaient donner des propres habile. J'entre à mon tour dans la douche, je pris aussi mon temps pour enlever ses foutus saleté.

Nous étions prête pour l'entretient. Il devait être riche pour nous demander comme cela. Nous entrions dans la pièce, l'homme était assis avec un verre de vin à la main. A peine entrée il nous agressa du moins j'ai eu cette impression. Il se présenta bon il était ministre et écrivain. Il ne cherchait pas une chienne, heureusement nous n'étions pas des chiennes. Et puis pourquoi nous devions le séduire.  Bon nous devons nous présenté, quoique cela n'est pas obliger. Mais fessons le quand même.

Voici ma sœur Iris et moi Hanna. 

Je ne dis rien d'autre après tout nous allions nous enfuir. Sauf que ma crétine de sœur pris la parole.

Monsieur nous somme vierge cela compte pour séduire ?

Idiote pourquoi tu dis cela, nous devons nous enfuir de cette endroit. En plus pour lui nous somme des illettrées .

Parfois j'ai honte d'avoir une sœur comme ça. J'aime pas quand elle parle. D'ailleurs elle alla près de l'homme. Elle s'installe à coté de lui. Elle le regarda comme il nous avait regardé au pars-avant. Elle n'était vraiment pas gêner.

Ne vient pas te plaindre si il te frappe.

Je souris après tout cela pouvait être amusant qu'elle se fasse frapper.  Par contre nous étions loin d'être comme les autres. Nous avions notre propre façon de pensée.

Monsieur nous ne somme pas comme les autres, voyer déjà ma sœur qui est une Yokai. En plus elle prévoir l'avenir même si ses dons ne sont pas précis.

Voila qu'elle me balance comme ça, j'avais vraiment envie qu'il la frappe. Cela lui mettrait les idées en place.
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